Mon premier CamHug et pas le dernier !
Les auteurs ont remporté le prix du « Festival sans nom » à l’automne dernier avec ce roman, ce qui est amplement mérité. C’est d’ailleurs à cette occasion que je me le suis acheté.
La visio de mars avec le Quartier Noir m’a donné l’opportunité de le sortir de ma PAL.
C’est une lecture très très sombre, puissante, même parfois éprouvante, mais surtout impossible à lâcher.
La première partie m’a happée, la seconde m’a retournée, le final m’a scotchée.
Je me contenterai de vous inviter à lire le résumé car c’est amplement suffisant pour vous donner envie de lire cet ouvrage sans le spoiler. Si de prime abord il peut sembler classique, il vous surprendra assurément par sa construction et son scénario hors normes et diabolique.
Je suis admirative de cette écriture à quatre mains. Il y a une telle osmose entre les auteurs qu’ils semblent fusionner pour ne faire qu’un.
Une fusion parfaite, jusque dans leur nom de CamHug
Cet ouvrage est sorti depuis peu en format poche, et je vous invite à le lire si ce n’est pas déjà fait.
- Hug, Nathalie (Author)
📚 Résumé :
Il vaut parfois mieux ignorer la vérité…
Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c’est tout son monde qui s’écroule. Elle s’en veut d’avoir été trop accaparée par son métier. Elle en veut à son mari, qui aurait dû surveiller leur petite brune aux yeux bleus, mais qui a failli, trop occupé à donner un énième coup de canif dans leur contrat de mariage.
Lorsque les recherches conduisent finalement à un multirécidiviste connu par la justice pour le viol de quatre fillettes, Jeanne comprend que rien ne sera jamais plus comme avant. Et son travail de résilience s’annonce d’autant plus long que le corps de Sixtine n’a jamais été retrouvé.
Une absence qui laisse planer comme une incertitude… Et si la vérité s’avérait plus sordide et glaciale encore que la mort d’un enfant ?
Dernière mise à jour le 2024-07-27 / Liens affiliés / Images de l'API Amazon Partenaires
