En 2001, Maïtena Biraben a lancé « Les Maternelles », une émission qui a démystifié la perfection parentale.

Aujourd’hui, à travers @mesdames.media et un livre, elle met en lumière l’invisibilité des femmes ménopausées, souvent reléguées hors du marché des « nanas fraîches » et jugées inutiles et périmées, car infertiles. Ces femmes sont encouragées à « repulper » leur visage plutôt qu’à prendre soin de leur santé, mais elles refusent d’être mise sur la touche.

Ce que j’admire chez Maïtena, c’est son audace, son humour, sa détermination et sa franchise. Elle incarne parfaitement la liberté des quinquagénaires d’aujourd’hui qui, après avoir rempli leurs obligations, réclament le droit de vivre pleinement, sans être définies uniquement par leur fertilité passée.

« Le corps de la femme est son tout. Son sexe l’assigne à une condition, à une fonction, à un avenir. »

Les quinquagénaires d’aujourd’hui, à l’inverse des générations passées, refusent l’invisibilité et veulent pleinement profiter de leur vie. À cinquante ans, fortes de leurs expériences et de leur recul, elles savent ce qu’elles ne veulent plus et n’hésitent pas à dire non. Libérées de nombreuses obligations, elles cherchent à sourire à la vie. Ayant beaucoup donné, souvent sans reconnaissance, elles sont maintenant des wonder women : indépendantes, épanouies, ambitieuses et séduisantes.

Maïtena Biraben offre un récit touchant et authentique, partageant son enfance avec ses quatre frères, ses défis de mère célibataire, ses expériences d’amour et de travail. Avec beaucoup d’humour, elle renverse les stéréotypes sur les rôles de fille, sœur, mère et épouse.

Ce livre est une véritable source d’inspiration pour toutes les femmes de plus de 50 ans qui se questionnent sur leur place , un coup de boost pour celles qui doutent.

La femme invisible
  • Biraben, Maïtena (Author)

📚 Résumé :

« J’ai chaud. Les dîners finissent plus tôt. Je bois moins. Je vieillis.

Ça peut couper les jambes, mais ça peut aussi porter, soulever, se faire s’envoler, exacerber l’envie et le goût pour les autres, l’enthousiasme, les tentatives, les échecs sans regrets et les petites réussites. Plus « rien à perdre », comme si cela avait été le cas un jour.

J’ai ressenti la cinquantaine comme une crise d’adolescence équipée d’un cerveau. Une libération. Une jubilation ! »

Dernière mise à jour le 2024-09-07 / Liens affiliés / Images de l'API Amazon Partenaires

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