Hurlements de Alexis Laipsker

Il vient de paraître en format poche chez Pocket, donc il était grand temps que je me plonge dans ce roman que j’avais acheté dès sa sortie en grand format. La faute à la hype sur les réseaux si j’ai attendu si longtemps…

Dès les premières pages, j’ai retrouvé avec joie les deux personnages principaux de cette série que j’avais tant aimés dans le premier tome (Les poupées).

Venturi et « Menthe à l’eau », ce duo improbable qui m’a fait sourire du début à la fin. Leur dynamique légère et humoristique apporte un réel soulagement à la tension palpable de l’intrigue.

Venturi incarne l’archétype de l’homme has-been, orgueilleux, macho sur les bords (et même au milieu), tandis qu’Olivia Montalvert, jeune et pleine de vie, lui tient tête avec détermination. Leur relation évolue au fil du récit, et le lecteur ne peut que s’attacher à leur complicité. Ensemble, ils portent haut cette intrigue captivante, où l’humour côtoie le suspense.

Olivia Montalvert est réveillée en pleine nuit par un bruit. Malgré une inspection minutieuse de son domicile, elle ne trouve aucun intrus. Cependant, un homme l’attaque alors qu’elle est aux toilettes.

Pendant ce temps, le commissaire Venturi attend impatiemment une réunion avec les membres de l’IGPN. Il reçoit un appel du téléphone d’Olivia, mais c’est un homme trafiquant sa voix qui lui annonce avoir enlevé cinq femmes. Venturi appelle des renforts et trouve Olivia blessée chez elle.

Une des victimes est retrouvée dans un vieux théâtre, atrocement mutilée et enfermée dans une cage, mais encore en vie, ne cessant de pousser des « Hurlements ».

Venturi et Montalvert, chargés de l’enquête, se lancent alors dans une course contre la montre pour retrouver l’assassin et ses autres victimes.

Alexis Laipsker nous offre une fois de plus une histoire aussi déroutante que palpitante.

La lecture de « D’entre les morts », la suite récemment parue, n’a pas trainé puisque j’ai enchainé tellement c’était addictif !